Le Jamaïca Club

Le DJ, un E.T. de la race des Mont Kala-Polnaroff (une expèce de pieuvre orange de deux mêtre d'envergure, baignant dans un bac de gel ligatorien) annonce le prochain numéro sur la scène, pendant qu'une de ses tentacules insère dans la sono un cristal-single du dernier tube de l'été sur Risa...

En exclusivité sur Terra 1, première soirée d'une tournée de deux semaines, de Max Nogatstok et ses Black Star Cats ! Max est un habitué du Jamaïca Club et il nous présente régulièrement ses meilleures trouvailles glanées dans tous les systèmes vraiiiiiiiment branché du Quandrant Alpha ! Nous le saluons bien bas tandis qu'il se prépare dans les coulisses.

Ouchlimat tend l'oreille...

Sans moindrement attirer l'attention, chose dans laquelle il excelle, Jacob entra dans le Jamaica Club. Rapidement il scanna la foule, afin de trouver un coin où il pourrait être seul, et profiter de la performance du DJ.

Non, je te le dis: il était grand comme ça!
...
Je ne saurais savoir, je ne sais de quoi vous parler.
...
Il parait qu'elles sont d'une beauté rare, et que nul ne peut résister à leur charme.
...
À mi-chemin, Jacob décida de se diriger vers le bar, afin de se prendre un bière. tous ces non-dire l'avaient irriter quelque peu. il avait besoin d'un remontant, et peut-être même de deux. le voyage jusqu'à Terra Prime lui fut pénible. il avait donc besoin d'un remontant.

Vous avez du talent à revendrefit Mcfenians, examinant l'artiste de la tête aux pieds.Je peux vous offrir quelque chose?

Si j'avais une réponse à cette question, je ne serais probablement pas ici... quoique si, j'y serais tout de même, pour le spectacle, tout simplement.
Jacob se raprocha du bar, afin t'attirer le bartender à son attention.
Cela sera un sandwich à la spiruline et aux vulcan tomatoes, pour Mademoiselle, et vous reservez la même chose.
Jacob s'accouda au bar, examinant de nouveau cette beauté platine stationnée près de lui... c'était tout lui... aborder la première beauté qu'il croise dans un Club qui grouille de Starfleeters. Mais bon, chacun a le droit à ses erreurs.
Au fait, je m'appele Jacob Reed, à votre service... quelqu'il soit!... Vous êtes ici en tournée, ou vous êtes une des attractions permanentes?

Jacob, finissant son verre et de se délecter du nectar visuel devant lui, jetta un coup d'oeil à montre... le temps passait vite, en charmante compagnie, et le détournait.
Cela me perdra, un jour. se dit-il.
Mademoiselle, malheureusement, je dois m'éclipser quelques instants. Mais je vous reviendrai, et je serai tout à vous.Mais les obligations sont les obligations, et nul ne peut échapper.
Sans attendre une réponse, Jacob se leva, salua l'artiste, ce qui lui permit de s'enivrer de son odeur particulière. Sur son chemin, il lança un regard à Ouchlimat et K Tana.

K tana ce passe les main sur le visage regarde la serveuse et dit.

un melt soda pour moi aussi s'il vous plait.

puis il regarde autour de lui d'un air stréssé.

Le vieux klingon racontait sa vie à la cow-girl, sous le regard lasse du barman. Mc Fenians avait disparu dans les coulisses.

A l'entrée, le videur s'effaça rapidement devant l'étrange cortège qui accompagnait l'homme en smoking et borsalino, et à qui il se contenta de dire : "Bonsoir Monsieur Léon ! Votre table est prête, nous n'attendions plus que vous pour lancer le spectacle."

L'homme s'appuyait sur sa canne pour contrebalancer l'effet de sa masse qu'il avait du mal à "porter" et qui le faisait respirer bruyament. Il salua quelques notables de la ville, dont le Maire, et quelques grands bourgeois de la côte. Aussi élégamant qu'il le pouvait, en décollant le chapeau de sa tête. Mais le simple fait de lever le coude au dessus de son épaule le faisait fortement suer. Il sortit un mouchoir blanc et s'essuya le visage.
QUand il s'assis, entouré de ses "filles", la lumière déclina dans la salle et les alcoves. La poursuite (projecteur suivant l'artiste) apparue au centre de la scène, et une musique grave et lanscinante, parsemée de tintements qui semblait se finir en miaulements baigna aussitôt la scène et les tables du premier rang. Le Dj était à son poste. Les gorilles du gros homme étaient restés debout entre l'entrée, le reste du public et la table de leur employeur. Ils semblaient nerveux et jetaient sans cesses des ragards inquisiteurs vers les différentes issus.

Puis la poursuite glissa vers l'entrée des coulisses...
Un homme en chemise hawaïenne entra avec à son bras deux magnifiques danseuses à la démarche obsèdante...

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Au même instant, Mcfenians sortit des coulisses, quelques bousculé par les gorilles de la sécurité. Il leur jetta un regard de mort.
Ce n'est pas des spaghettis qui vont me faire peur. Vous avez beau être plus gros, vous n'avez rien dans la cervelle!pensa-t-il.
Il alla rejoindre la beauté platine, qui se tenait toujours au bar. Ce fut un baume à son coeur. Il en était fort heureux. Le temps sera moins long, moins ennuyeux... si charmante compagnie... et ce parfum
Je suis heureux de voir que vous êtes toujours là. Vous êtes le rayon de soleil de cette soirée... enfin pour moi. fit-il, s'installa de nouveau près de la beauté.
Vous avez terminé votre sandwich... je puis vous offrir autre chose?

Elle avait à sa gauche le vieux klingon, avec qui elle papautait depuis quelques minutes, et à sa droite Mc Fenians, qui revenait à sa rencontre.

Elle se contenta d'un :

Non, merci, c'est gentil, j'ai ce qu'il faut.

à demi-mot, ne sachant plus lequel des deux écouter.

Le klingon, qui s'était lancer dans un diatribe sur l'injustice du monde et la communion d'âme qu'il pouvait y avoir entre les accidentés de la vie comm... lança un regard noir et bestial au chevalier servant, dispensateur de meltasoda...

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Je prends note. fut l'unique réponse de Mcfenians.
Peut-être aura-t-il le temps pour un détour, sait-on jamais.
Vaut mieux cesser de rêver dès maintenant fut sa réponse à sa propre utopie.
Barman! Votre meilleur whiskey qui n'est pas synthétisé!
De nouveau, McFenians s'installa dans le confort, en attente.

Attentif, Mcfenians regarda la scène d'un oeil interressé.

Argh!!! Vous osez qualifier cette eau de vaisselle de whiskey? s'écria Mcfenians lorsqu'il mumecté ses lèvres au liquide ambre que contenait le verre que le barman lui avait tendu.
C'est infecte! Vous devriez avoir honte de servir cette abomination! Donnez -moi quelque chose pour évacuer ce goût infecte!
À ces mots, le barman tendit un verre d'eau à Mcfenians, qui n'en fit qu'une gorgée.
C'est mieux. Merci.
À ces mots, il jetta de nouveau un regard vers Max et Ouchlimat. Les deux converssaient toujours.
Non, mais il se moque de moi! pensa Mcfenians.
À la pensée, il se leva et se dirigea droit devant, en direction de Max. En route, il lui lança des regards, le dévisageant intensément.